Des extraits des essais écrits pour l'exposition de 1927 d'O'Keeffe, qui présentait Blue Wave Maine (1926), révèlent la mesure dans laquelle cette idéologie a permé le travail d'O'Keeffe. Oscar Bluemner a écrit de façon lylique d'O'Keeffe : « Toute la nature considérée comme une chair organique vivante – forme transposée en ligne et couleur – surface battante avec pouls – ligne quittant avec une vie intérieure intense – couleur rigoureusement limitée avec une signification correspondante ». Charles Demuth également disparu, « couleur comme couleur, non comme volume, ou lumière, - seulement comme couleur.... Dans ses toiles chaque couleur regagne presque le plaisir qu'elle a dû ressentir en elle-même, sur la formation du premier arc-en-ciel.".À la fin de l'été, O'Keeffe s'est rendu au Maine pour s'éloigner des distractions et des ressentiments associés à la maison d'été de Stieglitz. Bien que Stieglitz l'ait suivie, l'imprimant à revenir, elle est restée à sa retraite bordée par l'océan pendant un mois avant de capituler aux exigences de la vie. L'océan à York Beach était un monde loin de la vie stressante au lac George ainsi que de son habile à New York. Elle « aimait courir en bas de la planche à pied vers l'océan – en regardant les vagues entrer, se répandant sur la plage humide dure – le phare s'éteint de façon constante sur les vagues le soir où il était presque sombre (Full Bloom: The Art and Life of Georgia O'Keeffe, p. 287). Elle peint ici le Maine de la vague bleue dans laquelle l'océan apparaît comme un réservoir de paix et de contemplation, d'harmonie et de spiritualité. La qualité sublime et éthérée des teintes fluides, un contraste spectaculaire avec le sens du poids de l'image antérieure du lac George.