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Selon la femme de Pollock Krasner, Pollock a commencé Il y en avait sept en huit à l'automne 1943, l'abandonna pendant un certain temps, puis y retourna après de nombreux mois.Comme Krasner s'en est souvenu, Pollock a commencé cette composition par « des images plus ou moins reconnaissables - des têtes, des parties du corps, des créatures fantastiques », mais ces arcs ne sont plus évidents. Apparemment, elle a demandé plus tard pourquoi il ne s'était pas arrêté lorsque ces images étaient « exposées »; « Je choisis de voiler l'imagerie », était sa réponse.Cette histoire a été racontée pour la première fois par Krasner dans une entrevue de 1969 avec B. H. Friedman, créant une tempête de controverse. D'autres proches de Pollock ont prétendu que la formulation "élégante" de cette phrase n'était peut-être pas celle de Pollock. De plus, au moment de l'entrevue avec Friedman, Krasner n'a pas identifié There Seven in huit comme étant la peinture spécifique dans la description de Pollock; elle l'a fait seulement quelques années plus tard en réponse à une demande de clarification de William Rubin. En 1969, elle a en effet déclaré que "beaucoup des œuvres les plus abstraites" de Pollock ont commencé par des images "reconnues", ce qui a conduit à la supposition fréquente et erronée de certains écrivains qu'une sous-couche de représentations réalistes est présente dans les peintures les plus radicales de Pollock.L'affirmation équivoque de Jackson Pollock, « Je suis très représentative une partie du temps, et un peu tout le temps », a encore compliqué cette question.